Encore une fois, soyons sinon «chrétiens [soyons au moins] empreints de justice avant d’être politiques».
Beaucoup de grands problèmes, pour ne pas dire tous, – qu’ils soient économiques, sociaux – ont des causes politiques et sont dues en conséquence, à des fautes commises par ceux qui se qualifient eux-mêmes de responsables politiques.
Ces fautes sont vraiment très graves comme nous le verrons quand nous voudrons regarder les choses en face et constater que c’est bien d’être politiques avant tout autre chose de plus important qui pose problème le plus souvent; comme de vouloir devenir un bon serviteur de la justice ou de ce qui est agréable à Dieu pour les croyants.
Elles le sont même à un point tel qu’il n’est pas déraisonnable de s’attendre au pire, dans un sens comme dans un autre si on veut l’éviter avant qu’il ne soit trop tard, avant que tout capote dans une guerre civile ou un régime autoritaire voire une dictature.
La vérité a besoin de tout le monde. Alors oui! Rentrons en classe au lieu d’appeler toujours et comme le fait encore
Alors bien sûr faut-il sauver le soldat Fillon comme tous ceux qui comme lui le proposent de toute la boue dans laquelle il a été traîné depuis que le Canard Enchaîné a révélé de façon outrancière, insidieuse toutes ces histoires – il faut bien le dire: ignobles – de fric où se trouvent mêlés les politiques; et ce, en définitive depuis des décennies.
Mais de là tout de même à appeler à siffler la fin de la récré pour couper court toute discussion, à toute critique concernant ces pratiques pluriannuelles exécrables, non! Surtout sur le motifs que le leitmotiv populaire « tous pourris » aurait repris même à plein du service, dans les réseaux sociaux notamment. Comment voir des vociférations là où les cris du peuple ne sont que ceux de la douleur?
Non! Le peuple a le droit de savoir et il doit être entendu… Ce, tout d’abord car, de même que tout le monde a besoin de liberté, de même la vérité a besoin de tout le monde. Ne pas reconnaître cela fait parti de tout ce qui doit changer et que refusent – parce que certaines vérités dérangent – ceux qui pratiquent ces modes réducteurs de rappel à l’ordre.
Non donc! Non après s’être laissés mener au coup de menton pendant 5 ans, pour nous laisser mener pendant cinq encore, mais cette fois au coup sifflet!