La France du progrevatisme et du consergressisme … ou quand la gauche et la droite ne sont plus que l’apparence d’elles-mêmes.
C’est un ensemble de faits certains, à garder toujours présent à l’esprit, surtout quand vient le moment de choisir celui qui aura à prendre des décisions qui engagent des millions de gens comme là dans à peine plus de deux mois avec l’élection du prochain Président de la République pour Cinq ans, puis au niveau local avec les Législatives qui suivront:
- s’il n’est jamais trop tard pour bien faire, il est souvent trop tard pour faire bien.
- Et si dans la vie ordinaire chacun peut à peu près penser ce qu’il veut, de la façon qui lui plaît, en pareilles occasions le bon choix des mots, dont l’ordre dans lequel on les place fait parti, devient essentiel.
Ce, notamment pour rester soi-même celui qui doit tenir la bride concernant les décisions qu’il est seul à devoir prendre et faire que sa détermination rivalise avec sa lucidité comme unique comportement qui permette de nous prétendre capable de faire un vrai choix.
Parce que là on se trouve dans une situation qui est sans commune mesure avec toutes celles qu’on peut se dire libre de faire des choix par goût ou en raison de son intérêt personnel.
La rencontre avec le peuple (comme on dit) que font les candidats qui se présentent à une élection présidentielle ou dans une moindre mesure (bien que ce soit aussi le cas) à une élection législative, n’est-ce pas quelque part un mariage, certes et fort heureusement de manière temporaire mais qui a tout du mariage forcé pour ceux qui en sont victimes et du mariage d’intérêt pour tous ceux qui en sont complices.
Et tout cela parce que nous ne faisons pas le bon choix des mots par manque de lucidité ou de détermination; ou bien parce que nous faisons le mauvais choix des mots par calcul. .
Alors, c’est toute la communauté qui se voit menacée d’avoir à sa tête le plus malin des prétendants parce qu’il sait de manière anodine mieux que personne comment il doit s’y prendre pour servir les uns ou s’en servir contre les autres pour mettre tout le monde au pas à sa botte.
Comme Macron avec son progressisme, le mot le plus séducteur que séduisant qui soit, le mot que chérit le plus celui qui veut nous faire croire que parce qu’il peut revendiquer que le libéralisme est bien de gauche il serait une bonne chose. Tout cela ne sont que sophismes habiles.
C-à-dire procédant à un système d’argumentation consistant à « un raisonnement conforme à la logique mais aboutissant à une conclusion fausse » (nous dit le dictionnaire) dont le but est de donner une apparence de vérité à ce qu’on dit pour mieux masquer sa mauvaise foi, sa réelle intention de tromper.
Et rien n’est plus facile maintenant de vérifier que toutes ses remarques sont bien inspirées et que ces allégations à charge faites principalement en direction de Macron sont vraies. De même il est vrai qu’il a tout faux quand il dit que « être français, c’est être ni de gauche, ni de droite »
Mais elles s’appliquent aussi à la droite qui a commis l’erreur en croyant bien faire – hélas – de vouloir, par réaction à cette gauche dévoyée, se parer des vêtements du conservatisme en prenant le risque de se vouer le pire déficit d’image qui soit au moment où le retour aux valeurs chrétiennes aussi nécessaire maintenant que difficile à faire accepter devient absolument incontournable dans les plus brefs délais.
Je reviendrai plus en détail sur ce sujet un peu plus tard pour montrer entre autre quel processus (électoral) tant alambiqué qu’inacceptable est derrière tout ça. Et je mets au défi quiconque voudra me dire que je me trompe sur un seul point de mon propos tenu ci-dessus.
Faire bien donc plutôt que bien faire ou du bon et du mauvais choix des mots donc aussi.