«Pourquoi une telle complaisance du pouvoir pour la-violence d’extrême-gauche», demandait Alexandre Devecchio hier dans le FigaroVox à Laurent Bouvet entre autre professeur de Science politique à l’Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines.
Selon lui, «le romantisme révolutionnaire, surtout lorsqu’il est assorti d’une violence dont ils [un ensemble de gens qui les soutiennent ou du moins qui prétendent le faire, tranquillement installés derrière leur ordinateur] sont strictement incapables, a toujours été très prisé chez certains intellectuels. Au-delà… ces militants ont des soutiens… dans la gauche politique, syndicale, associative, dans la presse aussi.»
Mais il oublie de dire que la violence d’extrême-gauche est aussi un moyen de censure par le bruit, pour ne pas dire autre chose, dont profite le pouvoir…
Dans ce désordre, toute vraie opposition au gouvernement est inaudible: un contexte idéal pour celui-ci qui peut profiter de la confusion et passer en force ses lois par ordonnance sans difficulté…